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Alain Juppé en visite en Guyane

Alain Juppé est visite en Guyane. L'ancien Premier ministre est arrivé hier pour achever son déplacement ce lundi soir. Il a rencontré les représentants socio-professionnels, mais aussi plusieurs élus dont Rodolphe Alexandre, Marie-Laure Phinéra-Horth, ainsi que Léon Bertrand. Le maire de Saint-Laurent-du-Maroni a, d'ailleurs, apporté son soutien à la candidature d'Alain Juppé à la primaire de la droite et du centre. L'ancien ministre Les Républicains a mis en avant 3 points prioritaires, selon lui, en Guyane : la lutte contre l'orpaillage illégal et la lutte contre l'immigration pour laquelle il propose de réviser l'acquisition de la nationalité par la droit du sol. Alain Juppé a également abordé la question de l'insécurité, notamment dans les établissements scolaires. L'ancien Premier ministre est favorable à une répression plus dure contre les élèves violents. Il propose d'imposer des sanctions pénales pour tout élève faisant l'objet d'au moins deux sanctions disciplinaires dans son établissement scolaire. Alain Juppé en a profité pour critiquer la politique pénale de l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, qu'il qualifie de "non-sens".

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Alain Juppé est visite en Guyane. L'ancien Premier ministre est arrivé hier pour achever son déplacement ce lundi soir. Il a rencontré les représentants socio-professionnels, mais aussi plusieurs élus dont Rodolphe Alexandre, Marie-Laure Phinéra-Horth, ainsi que Léon Bertrand. Le maire de Saint-Laurent-du-Maroni a, d'ailleurs, apporté son soutien à la candidature d'Alain Juppé à la primaire de la droite et du centre.

L'ancien ministre Les Républicains a mis en avant 3 points prioritaires, selon lui, en Guyane : la lutte contre l'orpaillage illégal et la lutte contre l'immigration pour laquelle il propose de réviser l'acquisition de la nationalité par la droit du sol. Alain Juppé a également abordé la question de l'insécurité, notamment dans les établissements scolaires. L'ancien Premier ministre est favorable à une répression plus dure contre les élèves violents. Il propose d'imposer des sanctions pénales pour tout élève faisant l'objet d'au moins deux sanctions disciplinaires dans son établissement scolaire. Alain Juppé en a profité pour critiquer la politique pénale de l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, qu'il qualifie de "non-sens".