themes/default/item_post.html.twig

Début des études pour le nouveau pont du Larivot

Les reconnaissances géophysiques et géotechniques du sol dans la rivière de Cayenne ont débuté depuis quelques jours. Marie-Laure Phinéra-Horth, la présidente de la CACL et Stanislas Alfonsi, Secrétaire général adjoint à la Préfecture de Guyane s’y sont rendus ce 19 juillet 2019.

  • Par: abehary
  • Date:

Une phase de sondage de la rivière

Les premiers travaux de reconnaissances géophysique et géotechnique ont commencé en rivière de Cayenne. Il s’agit d’étude de sol pour dimensionner précisément les fondations. « Il s’agit d’une étape importante pour le lancement des travaux », déclare Stanislas Alfonsi, Secrétaire général adjoint à la préfecture de Guyane. Une entreprise est chargée d’étudier la qualité du sol sur lequel vont reposer les piliers du pont.

[caption id="attachment_49182" align="aligncenter" width="225"] Marie-Laure Phinéra-Horth, la présidente de la CACL et Stanislas Alfonsi, Secrétaire général adjoint à la préfecture de Guyane ont visité les ateliers de sondage installé sur la rivière de Cayenne. (Photo : P. Labonté) [/caption]

Le nouveau du pont du Larivot est une opération issue du plan d’urgence des Accords de Guyane de 2017. Le coût des travaux pour le pont du Larivot est de 100 millions d’euros. Une nouvelle voie de circulation, sens Cayenne vers Kourou et une voie verte à double sens (pour piétons et cyclistes) seront réalisées. Les premiers travaux de construction débuteront en 2020. La construction du pont s’inscrit dans l’opération globale du doublement de la RN1 entre l’échangeur de Balata et le carrefour de la RD51 (12km). Le coût global des travaux s’élève à 250 millions d’euros, financé essentiellement par l’Etat.

Un calendrier assez serré

« On avance bien et plutôt vite », assure Stanislas Alfonsi, Secrétaire général adjoint à la Préfecture de Guyane. De plus, le chantier aura peu d’impact sur la circulation des véhicules assure Jean-Francois Bazin, adjoint au chef du service infrastructures et transports de la DEAL. « C’est un axe unique, stratégique, indispensable. Par sa fonction, il doit être maintenu en fonctionnement tout au long du chantier », annonce-t-il. Le calendrier est pour l’instant respecté. Une première mise en circulation est fixée à la fin de l’année 2023.